Une double joie

Noureddine Benchekroun/Bureau de Marrakech
Elle a pénétré mon cœur,
comme elle a envahi ma ville.
C’était la joie avec chaleur,
qui m’ a réchauffée le cœur.
Quelle merveille cette symphonie !
le son émis par la pluie.
Je suis resté comme une momie,
à écouter cette symphonie.
Les gouttelettes tombaient par terre,
trés doucement et sur les toits.
Elles nous sont très chères,
on sentait l’odeur de la terre.
J’ai vécu la double joie,
avec la qualification des nationaux.
Leur exploit m’a mis hors de moi,
je criais sans maîtriser ma joie.
Elles étaient toutes les deux à temps,
pour soulager nos angoisses.
Et même à la mi-temps,
la pluie battait à plein-temps.
On a beau attendu ce moment,
devenir parmi les grands.
Les questions avec quoi et comment ?
sont insignifiantes en ce moment.